vendredi 27 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:9

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:9

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Tu les briseras avec un sceptre de fer ; Tu les broieras comme un vase de potier.” (Téhilim 2:9)

Nous avons appris au verset précédent que si nous suivons la Volonté divine, Hachem élimine nos ennemis. Dans ce verset, le Roi David précise que les nations qui désirent se lever contre le peuple d'Israël seront brisées sans pitié et sans ménagement. Ainsi, non seulement les nations du monde ne pourront pas l'emporter contre nous, mais c'est leur existence même qui sera remise en question si elles s'attaquent au peuple d'Hachem.

Il n'y a pas si longtemps, deux peuples se sont levés contre les juifs : les allemands et les communistes des pays de l'ouest. Dans les deux cas, les juifs ont vécu l'enfer et l'heure de la fin du peuple élu semblait avoir sonnée, qu'à D-ieu ne plaise. Pourtant, quelques décennies plus tard, l'Empire allemand qui devait durer “mille ans” n'existe plus et l'idéologie communiste a été rangée au placard des erreurs de l'humanité.

Il en va de même avec notre ennemi quotidien : notre mauvais penchant. Lorsque nous sommes face à une des ses attaques, nous semblons si petits pour l'emporter ! Ceci est encore plus vrai si nous échouons, car nous échouons souvent contre un tel adversaire. Pourtant, nous devons être convaincus que D-ieu attend un seul signal de notre part pour tailler en pièces ce démon : notre volonté de vouloir l'emporter.

Car là réside l'aspect essentiel de notre Service divin : vouloir vaincre notre yetser hara', même s'il nous joue régulièrement des tours et que nous perdons face à lui plus souvent que nous le voudrions. Aussi longtemps que nos défaites nous gênent et que nous voulons l'emporter, la victoire est à notre portée de main.

La riposte céleste est terrible pour nos adversaires et le sceptre est de fer pour ne leur laisser aucun espoir de survie. Également, leur défaite sera si rude qu'ils seront en pièces, à l'image d'un pot en terre cuite qui est tombé au sol et qui a éclaté en morceaux. Nos adversaires ne peuvent pas espérer se relever de leur défaite et c'est leur manque d'intelligence qui les fait cependant se jeter contre nous.

Des adversaires d'un jour

Ce verset du Roi David doit nous rassurer sur nos adversaires du jour. Qu'ils soient déclarés – comme les arabes – ou au visage souriant – comme les américains et les européens – ils ne pourront pas nous vaincre. Plutôt, c'est le bâton de fer qui les attend. Qui aurait pensé, le jour de la prise de pouvoir des nazis, que leur régime disparaîtrait aussi vite ? Qui aurait pensé que les Brejnev, Gromyko et autres gros bonnets communistes s'évaporeraient aussi vite qu'ils étaient venus ?

Aujourd'hui, les États-Unis sont la première puissance du monde et leur chef d'État se permet de dicter au peuple d'Israël le nombre de logements qu'il peut construire. Aujourd'hui, les arabes nous menacent de la création d'un État palestinien. Dans les deux cas, nous ne devons pas trembler : Hachem tient les ficelles du monde et New York disparaîtra comme Moscou a disparu ; les palestiniens auront le même sort que les communistes : la poussière est leur avenir.

À suivre…

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