vendredi 27 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:10

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:10

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Et maintenant, ô rois, sachez comprendre, tenez-vous pour avertis, juges de la terre !” (Téhilim 2:10)

Dans ce chapitre, le Roi David a commencé a expliqué son statut unique de fils de D-ieu. Il a proclamé ouvertement qu'Hachem lui a promis de lui donner les peuples en héritage et les confins de la terre pour domaine (verset 8). Également, il a prévenu que le Créateur brisera tous ceux qui s'opposent à Son peuple élu (verset 9). Maintenant, il prévient les dirigeants de ces peuples et leur conseille de réfléchir avant de s'opposer à lui.

De nos jours, les dirigeants de l'État d'Israël préviennent également leurs ennemis de ne pas s'attaquer à eux. Cependant, leur message en est un d'orgueil. “Ne nous attaquez pas,” disent-ils “car nous possédons une armée puissante, des services de renseignements de haut niveau…” En aucun cas, ils lient leur force à la protection que peut leur offrir la Providence divine. De la sorte, ils pèchent et s'exposent à des revers fréquents et contre lesquels ils ne peuvent rien faire. À notre grand désespoir, le nombre de ces revers est important, sans que nos dirigeants politiques en tirent la leçon.

Une protection céleste

Nous aussi devons prévenir notre mauvais penchant lorsqu'il nous attaque, en lui rappelant notre lien sacré avec Hachem. De fait, nous ne devons jamais commettre l'erreur de penser être suffisamment forts afin de battre notre yetser hara'. Cela serait faire preuve d'un terrible orgueil, que D-ieu nous préserve.

Ce verset nous apprend que le peuple d'Israël ne cherche pas le rapport de force avec ses ennemis. Plutôt, il les prévient de leur futilité en voulant l'attaquer, espérant ainsi éviter le conflit ouvert. De même, nous ne désirons jamais engager le combat avec notre mauvais penchant – car nous ne sommes jamais certains de l'emporter face à lui – et nous lui conseillons de nous laisser tranquilles.

Il est intéressant de noter que dans cette mise en garde à l'adresse des nations de la planète, nous faisons appel à leur intelligence pour conserver des rapports de paix. Tandis que certains désirent terroriser leurs ennemis en faisant usage d'actes de violence – propres au comportement animal – nous nous adressons à ce que l'homme possède de plus précieux : son intelligence. En fin de compte, même s'ils sont nos ennemis, n'ont-ils pas eux aussi été créés par Hachem ?

L'essence de notre message à l'humanité se résume à ceci : il existe un Maître du monde et rien ne peut arriver en l'absence de Sa volonté. Nous ne demandons pas aux nations du monde de joindre le peuple d'Israël, mais simplement de reconnaître l'existence de l'Autorité divine.

À notre égard, ce verset inclut un enseignement de courage et d'humilité. Le Roi David nous donne du courage en nous disant que nos ennemis ne sont jamais trop forts pour nous et que nous n'avons aucune raison d'avoir peur lorsque nous sommes attaqués. D'autre part, nous apprenons que notre salut se trouve seulement en notre appel à D-ieu et en Sa volonté de nous protéger.

Notre rôle est donc de nous tourner vers Lui et de L'appeler à notre secours. C'est Hachem qui s'occupera de nos ennemis, aussi longtemps que nous Lui demandons. Nous comprenons maintenant la véritable force qui réside dans les prières.

À suivre…

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Lire les Téhilim (Psaumes) 2:9

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:9

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Tu les briseras avec un sceptre de fer ; Tu les broieras comme un vase de potier.” (Téhilim 2:9)

Nous avons appris au verset précédent que si nous suivons la Volonté divine, Hachem élimine nos ennemis. Dans ce verset, le Roi David précise que les nations qui désirent se lever contre le peuple d'Israël seront brisées sans pitié et sans ménagement. Ainsi, non seulement les nations du monde ne pourront pas l'emporter contre nous, mais c'est leur existence même qui sera remise en question si elles s'attaquent au peuple d'Hachem.

Il n'y a pas si longtemps, deux peuples se sont levés contre les juifs : les allemands et les communistes des pays de l'ouest. Dans les deux cas, les juifs ont vécu l'enfer et l'heure de la fin du peuple élu semblait avoir sonnée, qu'à D-ieu ne plaise. Pourtant, quelques décennies plus tard, l'Empire allemand qui devait durer “mille ans” n'existe plus et l'idéologie communiste a été rangée au placard des erreurs de l'humanité.

Il en va de même avec notre ennemi quotidien : notre mauvais penchant. Lorsque nous sommes face à une des ses attaques, nous semblons si petits pour l'emporter ! Ceci est encore plus vrai si nous échouons, car nous échouons souvent contre un tel adversaire. Pourtant, nous devons être convaincus que D-ieu attend un seul signal de notre part pour tailler en pièces ce démon : notre volonté de vouloir l'emporter.

Car là réside l'aspect essentiel de notre Service divin : vouloir vaincre notre yetser hara', même s'il nous joue régulièrement des tours et que nous perdons face à lui plus souvent que nous le voudrions. Aussi longtemps que nos défaites nous gênent et que nous voulons l'emporter, la victoire est à notre portée de main.

La riposte céleste est terrible pour nos adversaires et le sceptre est de fer pour ne leur laisser aucun espoir de survie. Également, leur défaite sera si rude qu'ils seront en pièces, à l'image d'un pot en terre cuite qui est tombé au sol et qui a éclaté en morceaux. Nos adversaires ne peuvent pas espérer se relever de leur défaite et c'est leur manque d'intelligence qui les fait cependant se jeter contre nous.

Des adversaires d'un jour

Ce verset du Roi David doit nous rassurer sur nos adversaires du jour. Qu'ils soient déclarés – comme les arabes – ou au visage souriant – comme les américains et les européens – ils ne pourront pas nous vaincre. Plutôt, c'est le bâton de fer qui les attend. Qui aurait pensé, le jour de la prise de pouvoir des nazis, que leur régime disparaîtrait aussi vite ? Qui aurait pensé que les Brejnev, Gromyko et autres gros bonnets communistes s'évaporeraient aussi vite qu'ils étaient venus ?

Aujourd'hui, les États-Unis sont la première puissance du monde et leur chef d'État se permet de dicter au peuple d'Israël le nombre de logements qu'il peut construire. Aujourd'hui, les arabes nous menacent de la création d'un État palestinien. Dans les deux cas, nous ne devons pas trembler : Hachem tient les ficelles du monde et New York disparaîtra comme Moscou a disparu ; les palestiniens auront le même sort que les communistes : la poussière est leur avenir.

À suivre…

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dimanche 15 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:8

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:8

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Demande-le-Moi, et Je te donnerai des peuples comme héritage, les confins de la terre pour domaine.” (Psaumes 2 :8)

Si nous parvenons au niveau où nous sommes appelés les fils de D-ieu – c'est-à-dire au niveau où nous cherchons réellement à faire Sa volonté – tout ce que nous avons à faire pour obtenir quelque chose du Créateur est… de Lui demander. Cela ressemble à un père que ne peut pas refuser ce que son fils aimant lui demande.

Une relation d'amour

Nous comprenons parfaitement qu'un père qui voit son fils évoluer dans le droit chemin, écouter ses conseils et faire de son mieux pour avoir une vie décente, honnête et équitable, a une tendance naturelle à répondre à tous ses besoins. Cependant, si le fils commence à s'écarter du droit chemin et à ne plus écouter son père, la relation entre les deux n'est plus la même.

Il en est de même avec Hachem. Le Maître du monde désire que nous L'aimions, comme un père désire être aimé de son fils. Lorsque nous écoutons Ses conseils et essayons de toutes nos forces de suivre Sa volonté, nous Lui procurons un immense plaisir. D'autre part, lorsque nous Lui tournons le dos – et que nous ignorons Ses commandements – nous Lui causons une peine incommensurable.

Toute notre vie doit être tournée vers cet objectif : savoir ce qu'Hachem désire de nous – c'est-à-dire étudier Sa Tora – et faire notre possible pour mettre ce que nous avons appris en pratique. Si nous agissons de la sorte, le Maître du monde sera le premier à comprendre nos erreurs, nos chutes et nos fautes.

L'amour est une grande chose. Lorsque nous aimons, nous comprenons plus facilement les difficultés de l'Autre, ses points faibles… D-ieu nous aime et comprend mieux que quiconque nos difficultés. N'est-ce pas Lui qui nous a créés avec notre mauvais penchant, nos défauts… ? Le principal consiste à être honnêtes dans nos efforts pour nous rapprocher de Lui.

“Demander” à Hachem, c'est Le prier. Notre rôle principal en ce monde est de prier, tous les jours, le plus souvent possible et pour toutes les choses que nous désirons et dont nous avons besoin. S'il n'existe pas de choses trop importantes pour être demandées, il n'en n'existe pas non plus de trop petites. Un lacet de chaussures à acheter mérite une prière à lui seul !

La personne appelée le “fils” de D-ieu reçoit un cadeau inestimable : le monde lui est donné. Évidement, cela ne doit pas être compris au sens littéral. L'histoire du peuple juif démontre qu'il n'a jamais eu la prétention de dominer le monde et de s'approprier “les confins de la terre.”

Plutôt, cela doit être compris ainsi : en faisant la Volonté divine, Hachem élimine nos ennemis et les nations du monde nous sont données, c'est-à-dire qu'elle ne s'opposent pas à nous et nous aident même dans notre Service divin.

À suivre…

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mardi 10 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:7

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:7

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Je suis obligé de proclamer que l'Éternel m'a dit : 'Tu es Mon fils, c'est Moi qui, en ce jour, T'ai engendré'.” (Psaumes 2 :7)

Nous avons appris dans le verset précédent que le peuple juif possède un statut privilégié : celui d'avoir été choisi par le Créateur afin de suivre Sa volonté. Nous avons également précisé que nous n'avons pas le choix de refuser le rôle qu'Hachem nous a confié.

Un service dans la joie

Loin d'accepter ce rôle avec résignation, le Roi David déclare haut et fort qu'il assume son obligation sans contrainte. Plutôt, c'est dans l'enthousiasme qu'il revêt ses habits de roi et de leader du peuple d'Israël. C'est précisément parce que tout dépend de lui, que le Roi David est appelé le fils de D-ieu.

Cette appellation est la même qui fut donnée – plus tard – au fils de David : Chlomo. Dans ce cas aussi, il s'agissait de qualifier le roi du peuple d'Israël.

Afin de ne prêter à aucune confusion, il est important de préciser que la Tora donne les détails de la descendance des rois David et Chlomo. En ce qui concerne David, il est l'arrière-petit-fils de la convertie Ruth et Chlomo est le fils de David. Ainsi, l'expression “Mon fils” qu'emploie D-ieu ne peut en aucun cas être prise au sens premier.

Si nous désirons appliquer ce verset à nous-mêmes, nous pouvons en déduire que nous sommes les véritables “fils” d'Hachem lorsque “tout dépend de nous”. Cela est le cas lorsque nous menons la vie que désire notre âme, c'est-à-dire que nous faisons la sourde oreille aux appels charmeurs et tentants de notre mauvais penchant.

Ainsi, lorsque nous collons à D-ieu, nous essayons de faire en tous points ce qu'Il attend de nous. Même si nous commettons des erreurs, notre désir est le plus important aux yeux du Créateur. Dans la mesure où Hachem connaît le fond de nos pensées, il s'agit d'une relation saine et empreinte d'honnêteté.

Devenir le “fils” de D-ieu est semblable à celui qui devient le “fils” de son Rabbi. De fait, une relation forte entre un Rav et son élève est souvent comparée à celle d'un père et son fils. Ainsi, il existe trois niveaux distincts dans lesquels nous pouvons devenir des “fils” : nous pouvons être le fils de notre père. C'est-à-dire que notre relation avec celui-ci est riche d'enseignement et que notre père biologique est également notre père spirituel.

Également, nous pouvons devenir le “fils” de notre Rav. C'est lui qui nous guide dans les domaines où notre père ne peut pas nous amener et c'est lui qui nous prend en mains lorsque nous quittons le domicile de nos parents. Enfin, nous pouvons devenir le “fils” d'Hachem, si nous cherchons réellement à faire Sa volonté.

Dans ces trois niveaux, les pères sont compréhensifs : ils ne s'offusquent pas de nos fautes et oublient vite nos erreurs. Ce qui est la source de leur plaisir : notre volonté sincère d'aller dans la bonne direction et nos efforts réels pour y arriver.

À suivre…

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vendredi 6 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:6

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:6

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“'C'est Moi' [dit-Il,] qui ai consacré Mon roi sur Sion, Ma montagne sainte'.” (Psaumes 2 :6)

Lorsque le Créateur constate que les dirigeants du monde s’apprêtent à intervenir contre le peuple d’Israël, Il révèle – sans ambiguïté – la nature unique du lien qui Le lie à celui-ci. Il leur rappelle que c'est Lui qui a choisi ce peuple pour Le servir et qu'à ce titre, il Lui est consacré.

Une élection désirée

Ce statut privilégié a des conséquences importantes pour chacun d'entre nous. À l'image du prophète Jonas – à qui Hachem avait demandé de révéler une prophétie et qui s'était enfuit pour ne pas le faire – nous ne pouvons pas nous subtiliser à notre rôle. Chaque personne du peuple d'Israël possède un rôle particulier et une mission spécifique à remplir en venant au monde, et il ne lui est pas donné de les refuser.

Même si cette situation peut sembler injuste – après tout : comment nous imposer un choix que nous n'avons pas fait ? – elle ne l'est pas. De fait, le Midrach nous apprend que le jour du don de la Tora, ce sont toutes les âmes du peuple juif qui étaient présentes : celles qui vivaient à cette époque ainsi que celles des futures générations. C'est pour cela que nous pouvons tous déclarer : “Moi aussi, j'étais au Mont Sinaï pour y recevoir la Tora !”. À défaut de notre corps, c'est bel et bien notre âme qui a accepté de recevoir les Paroles divines.

Certes, ce statut de “peuple élu” nous impose des obligations, mais également des avantages. Un de ceux-là est celui qui est indiqué dans ce chapitre des Téhilim : la Protection divine. Au cours des siècles de l'histoire tourmentée de notre peuple, une conclusion s'impose : c'est uniquement grâce à la Présence divine que nous avons pu survivre à tous les massacres et terreurs auxquels nous avons été soumis. Aucun peuple au monde n'a réussi à survivre aussi longtemps – sans État, sans territoire commun – en l'absence de cette protection unique.

C'est parce qu'Il nous a choisi que D-ieu nous accorde une attention particulière. Quel réconfort de savoir dans les périodes difficiles de notre vie nous pouvons compter sur un soutien constant, désintéressé et d'une perfection totale ! Jamais nous ne sommes seuls et jamais nous ne sommes abandonnés. Cette idée seule peut nous permettre de passer à travers les périodes les plus difficiles, que D-ieu nous protège.

Dans ce verset, il est également important de noter qu'Hachem signale sans équivoque le lien fort qui existe entre Lui, Son peuple et Sion, c'est-à-dire Jérusalem. La montagne sainte à laquelle il est fait référence ici est celle où le Temple de Jérusalem se tenait il y a quelques siècles et où des millions de juifs prient encore chaque année, devant le Mur des lamentations.

À suivre…

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lundi 2 novembre 2009

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:5

Lire les Téhilim (Psaumes) 2:5

(Pour lire l'introduction à cette série, cliquez ici.)

“Alors, Il les apostrophe dans Sa colère et, dans Son courroux, Il les terrifie.” (Psaumes 2 :5)

Lorsque le Créateur constate que les dirigeants du monde s’apprêtent à intervenir contre le peuple d’Israël, Il les rappelle à l’ordre : soudainement et sans ménagement. C’est en Hachem que notre salut existe et pas en notre propre force, intelligence, puissance militaire…

Ce verset peut également être compris dans un autre sens : celui de la lutte que nous menons contre notre propre adversaire : le mauvais penchant. Lui aussi ne rate jamais une occasion pour se liguer contre notre résolution de faire des mitswoth et notre désir de vouloir nous rapprocher du Maître du monde.

Une lutte sans merci

La lutte que nous mène notre Yetser Hara’ est sournoise, soutenue et menée avec beaucoup d’intelligence. L’objectif premier que le mauvais penchant cherche à atteindre est de nous faire croire que notre peu d’enthousiasme pour les choses spirituelles et de notre fait. Cependant, cela est faux et c’est une illusion de l’esprit d’y croire.

L’aspect essentiel de notre personne est notre âme et certainement pas notre aspect physique. Ainsi, tous les désirs matériels de ce monde sont des armes que le mauvais penchant utilise afin de nous éloigner de D-ieu. Si nous écoutions notre âme, ces désirs révèleraient leur véritable nature et notre envie de les poursuivre en disparaîtrait immédiatement.

Pourtant, nous faisons souvent la sourde oreille aux appels élevés de notre âme. Plutôt, nous préférons écouter les cris issus de notre de notre aspect matériel et vivre dans le matérialisme de ce monde. La gourmandise, les vêtements, l’ameublement, les plaisirs malsains… la liste est longue des astuces de notre Yetser Hara’ pour nous garder à distance de la vraie vie.

Chaque fois que nous suivons ce chemin de mensonge, nous empruntons un chemin qui n’est pas le nôtre et si nous écoutions notre âme, nous l’entendrions pleurer. Cela est possible si nous nous tournons vers D-ieu et Lui demandons d’intervenir en notre faveur dans cette lutte où il nous est impossible de gagner seuls.

C’est parce que nous faisons appel à Hachem que le mauvais penchant se retire. Lorsque nous gagnons une bataille contre le Yetser Hara’, nous devons en remercier avant tout le Maître du monde. C’est parce qu’Il a exercé Sa colère à son encontre qu’Il a terrifié notre principal ennemi. Certes, nous devons vouloir gagner cette guerre et prendre les mesures adéquates pour cela (étude de la Tora, pratique des mitswoth…) ; pourtant, si la conclusion est positive, nous devons en accorder le mérite à Hachem.

Bien orgueilleuse est la personne qui pense pouvoir terrifier son mauvais penchant !

À suivre…

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